Afin de répondre à l'accroissement de la population urbaine, la redensification des centres, la montée des eaux et les impératifs de logements durables et innovants, l'architecture est sur le point d'opérer un virage en arrière. La réoccupation des ponts qui furent au cours du XIXè siècle libérer de toute occupation humaine en vertu de logiques hygiénistes et sécuritaires. Autre temps, autres moeurs, les ponts redeviennent un lieu d'expérimentation architecturale. En effet avec la constitution de centres ville libérés de la circulation automobile, le pont est libre, prêt à accueillir de nouveaux usages. Londres envisageait déjà d'aménager des jardins sur certains de ces ponts. L'imaginaire va encore plus loin...
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